L’orgie de Noël
La sulfureuse Frenchy Blondie est la muse de cette orgiaque surprise de Noël.
Je tente de regarder sous le bandeau, mais il est bien serré et aucune lumière ne filtre. L’excitation mêlée à un brin d’anxiété m’accapare. Je sens les liens sur mes poignets contraignant mes mains devant moi entre mes cuisses. Je suis à sa merci. Mon homme, mon amant. Je lui fais entièrement confiance et c’est en ce jour spécial de Noël qu’il tient sa promesse. Celle de me surprendre. Je m’étais donc complètement offerte
J’ai perdu la notion du temps, mais je suis persuadée que cela doit faire un bon quart d’heure que je suis à genoux face au mur. Enrubannée avec soin de quelques bandes de tissus éparses, le tout agrémenté de jolis nœuds et de ma paire de talons préférée, je me plais à l’imaginer me regarder ainsi, mes fesses toutes exposées pour lui. Je soupire alors subitement quand je sens ses mains saisir fermement ma chevelure pour tirer ma tête en arrière, pendant que son autre main glisse sur mon dos me procurant une nuée de frissons. Puis il claque soudainement chacune de mes fesses.
Mon homme me touche froidement presque comme un objet. Sa hardiesse me rend tout chose, et je me trémousse pour lui signifier clairement mon excitation et approbation. Puis il glisse sa main entre mes cuisses et me fouille sans ménagement. Ne disposant pas du sens de la vue, le bruit mouillé de ma chair explorée par deux doigts prend une tout autre intensité et semble résonner dans la pièce. Puis les doigts me quittent, abandonnant ma chatte qui se contracte pour les retenir, mais en vain. Il saisit alors mes hanches et tire mon bassin pour me pencher en avant. Sa main pèse sur ma cambrure alors que son sexe s’introduit en moi et pousse dans les tréfonds de mon intimité. Il entame alors de brusques mouvements de bassin, pour me baiser, et me soutirer un cantique de gémissements d’approbation.
Son pouce humide glisse dans mon petit trou alors qu’il joue de mon sexe. Puis il retire son pénis et le place au-dessus juste à l’entrée de là où se trouvait son pouce. Connaissant la suite, je me relaxe et souffle pour l’accueillir. Il pousse son sexe érigé dans ma chair. Je me mords les lèvres alors qu’une douleur m’envahit pour se muer en un balai de plaisir et d’excitations. Il entame alors une sodomie bestiale. Je l’ai rarement connu ainsi, mais j’en savoure chaque moment.
À sa respiration accélérée, je le sens proche de jouir, mais il se retire avant et je l’entends se placer à côté mon visage, puis le son de sa main astiquer sa queue. J’ouvre la bouche, souhaitant goûter sa précieuse semence. Mais alors que j’attends le liquide chaud, d’autres mains parcourent mon corps. Je ne reconnais pas mon amant. Je me crispe de surprise et je sens la main de mon homme saisir mon menton pour me lever la tête. Un doux baiser se dépose sur mon front comme un message rassurant, me disant de me relaxer et de lui faire confiance.
Sentant sa présence et sa supervision, je me détends alors que les mains étrangères continuent de glisser sur ma peau et m’ajustent à quatre pattes. Un membre inconnu glisse alors dans mon sexe et se fait sa place à coup de va-et-vient rapides. Les mains rugueuses de l’inconnu empoignent mes hanches pour me forcer à accompagner son rythme. C’est à ce moment-là que le liquide chaud jaillit brusquement sur ma bouche et menton. Je reconnais le goût de mon homme alors que je lèche mes lèvres tout en gémissant.
L’inconnu décide de sortir de mon intimité et je le sens tourner ma tête et je l’entends se masturber. À peine ma chatte est libérée, qu’un autre homme frotte son sexe contre mon entrejambe humide, mais cette fois-ci s’insère dans mon cul. Je l’entends grogner de plaisir. Une autre main se plaque sur mon clitoris pour l’exciter. Oh putain… Je n’en peux plus. Et c’est honteusement que je jouis alors qu’un étranger me sodomise. Mais cette honte décuple mon plaisir.
Une autre giclée souille soudainement mon visage et ma bouche. Ce liquide chaud pousse le mélange d’excitation et de jouissance à son paroxysme pour me porter vers une extase. L’inconnu libère mon cul et laisse la place à un autre, c’est cette fois-ci plusieurs hommes qui se branlent face à moi. Je ne peux les voir, mais je sens leurs mains sur ma tête, les glands toucher ma peau et cet orgie de respiration et de râles dans mes oreilles.
La notion de temps est perdu, cela dure à la fois des heures et cela est pourtant si court. Les orgasmes s’enchaînent. De toute ma vie, je n’ai jamais vécu cela et je n’aurai jamais soupçonné que mon corps puisse me renvoyer tant de plaisirs. Ces inconnus jouissent de moi, mais pas autant que je jouis d’eux. Ils deviennent mes outils et mes choses pour me transformer en objet de plaisir.
Lire d’autres “divagations charnelles”