Extase en suspens


Découvrez Stryg.model asservie pour notre plaisir et son extase dans cette histoire érotique intitulée “Extase en suspens”.

Modèle : Stryg.model

La vue de mes cheveux traînant négligemment sur le sol est un incessant rappel de ma condition. Impuissante et complètement soumise, je me balance tête en bas au bout d’une toile complexe de cordes. L’enchevêtrement du chanvre emprisonne mes cuisses et mollets, soutenant à la fois le poids de mon corps et contraignant mes jambes à rester écartées. Cette exhibition de mon intimité décuple l’excitation déjà apportée par la suspension de mon corps.

Alors que le sang se presse dans ma tête, l’inconfort ne fait que croître et pourtant le plaisir de la situation s’intensifie au point de m’enivrer. Mon cerveau se brouille et mon corps, dans une pulsion instinctive, tente de s’échapper de ces entraves. Mais une partie de mon être se délecte pourtant de ma servitude et souhaite s’abandonner pour mieux jouir de cet asservissement. Je souffle de soulagement alors que j’entends la porte s’ouvrir. Son arrivée m’apaise immédiatement et ce tumulte de pensées contradictoires disparaît pour me laisser enfin en paix avec mon être profond.

Mon cerveau est comme pressé dans un étau. Mais je souris. J’observe les chaussures en cuir et le pantalon sous laquelle je devine les muscles saillants de mon Maître. Il m’observe. Un filet d’air frais se mêle à mon excitation et tout mon corps frissonne en réponse. Il se retire derrière moi puis je sens son regard inspecter chaque centimètre de ma peau. Ses longues jambes réapparaissent alors. Il s’accroupit, mon regard se porte infailliblement alors sur la bosse de son entrejambe. Puis il saisit vigoureusement ma crinière pour plonger son regard dans le mien.

Je m’y perds. Je veux l’embrasser, le toucher, le sentir, le lécher. Mais plus que tout, je veux être sienne. Son visage anguleux mais si beau reste froid et impassible. Aucun mot doux pour me réconforter. Je sais qu’il ne fera rien pour soulager mon inconfort. Je le vois se remettre debout pour faire glisser un souffle tiède entre mes cuisses le long de ma fente humide.

Ma respiration s’accélère. Il se dérobe à nouveau derrière moi. Un autre souffle me caresse et m’arrache un frisson. Puis je le vois s’éloigner et quitter la pièce. Le claquement sec de la porte me dégrise, le délice qui avait commencé à m’envahir se désagrège subitement. Je pousse un gémissement de déception. Je veux l’appeler mais n’ose pas quémander son attention.

Après de longues minutes de souffrance où le sang noie mon cerveau, c’est avec un grand soulagement que j’accueille le cliquetis de la poignée de la porte. Ne cherchant pas à cacher mon impatience, j’halète alors qu’il s’approche. Subitement des doigts s’insèrent sauvagement dans ma chair. Oui ! Enfin ! De ses deux mains, il écarte mes douces lèvres humides pour exposer ma chair rosâtre. Sa langue sillonne mon intimité. Je l’entends se délecter de mon nectar. Puis il enfouit sans ménagement un gode en moi. Je l’accepte, ma chatte s’écarte, ravie d’accueillir le cadeau de mon Maître. Puis il se faufile derrière moi et je sens la salive couler sur mon petit trou le préparant lentement pour finalement l’envahir de deux doigts.

Le gode et les doigts s’ébranlent en moi. Mais ce n’est que le début d’une chorégraphie dont seule la complexité des nœuds qui enserre ma chair peut égaler. Les doigts sont remplacés par un plug qui s’engouffre en moi sans aucune retenue. Le gode est extrait de mon sexe palpitant. Et un autre lui succède, trouvant refuge dans ma chatte brûlante de désir. Il se met alors à vibrer au plus profond de mon intimité. La langue de mon Maître m’explore et louvoie sur mon ventre et ma poitrine qu’il pince sans retenue. Je crie de plaisir et de souffrance ! Mais mes gémissements sont vite étouffés par le sextoy qu’il enfouit sans aucun scrupule dans ma bouche. Le goût de mon inimité imprègne alors mes papilles.

Une danse de jouets, de doigts se poursuit entre mes cuisses. Je chavire alors que mon corps tout entier tremble, de multiples vagues de plaisir se déchaînent et m’enflamment. L’orgasme m’inonde. Mon corps accepte enfin qui je suis réellement. Il jouit d’être sa chose, sa soumise. L’extase envahit tout mon être pendant que mon Maître joue en abusant de mes orifices et de tout mon corps.

Merci Maître !


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